Lundi 5 février, nous nous retrouvons à 13h30 au cinéma l’Omnia pour aller voir « La Zone d’Intérêt », un film de Jonathan Glazer (2023).

Le film se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, en Pologne. Le commandant du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, Rudolf Höss, et son épouse Hedwig réalisent sur un terrain directement adjacent au mur du camp leur vision d’une vie de rêve avec une famille nombreuse, une maison et un grand jardin.

Leur vie paisible est cependant menacée suite à la mutation de Rudolph Höss à Oranienburg car ils seraient contraints de quitter leur paradis. Ils entament alors une vie de famille à distance.

« Personnellement, j’ai trouvé qu’il fallait avoir une certaine culture pour se mettre dans l’histoire, il y a des scènes qui sont longues pour rien. Il faut bien suivre l’histoire parce qu’elle est assez compliquée à comprendre  » – Kaly.

« J’ai trouvé le film un chouïa trop intellectuel, avec de nombreuses longueurs. De plus je n’ai pas adhéré au fait que le film soit mono-centré sur la famille du protagoniste. J’aurais aimé avoir un peu plus d’image hors de sa famille, voir un peu d’autres points de vue et une image plus crue du camp de concentration qui est sous-entendue, on ne le voit jamais. A certains moments, c’est difficile d’avoir le bon point de vue parce qu’on ne comprend pas tout. »- Mattéo.

« Au début c’était un peu long mais au final le fond de l’histoire était intéressant. Je suis très intéressée par l’histoire sur la tragédie des camps de concentration. » – Adèle.

« J’ai trouvé que le film était très intéressant, il y avait pleins d’éléments super captivants sauf que tout était très lent, il n’y avait pas assez d’action, les scènes étaient trop lentes, trop monotones et trop centrée sur la vie des nazis et moins sur ce qui se passe à Auschwitz, j’aurais préféré qu’on voit ce qui se passe dans les camps. » – Mélissa D.

« Étonnamment j’ai bien aimé le film, j’aime bien les films un peu décalés et j’ai beaucoup apprécié la bande-son, même si elle paraissait impressionnante je trouve qu’elle relatait bien la terreur que pouvaient ressentir les gens à cette époque à Auschwitz. » – Thaïs.

Kaly H. et Hélène A.

La classe de BTS 2 a eu l’occasion de visiter l’aéroport Charles-de-Gaulle le 06 février 2024, à l’occasion de leur semaine banalisée. Pendant cette visite en car, le guide nous a montré comment fonctionnait l’aéroport.

Il faut tout d’abord savoir que l’aéroport Charles-de-Gaulle est un hub, ce qui signifie que c’est une plateforme, réunissant des lignes en correspondance. C’est le seul en France et le dixième plus grand au monde. Il se situe à Roissy-en-France au Nord-Est de Paris. Il a été ouvert en 1974 pour faire face à la saturation de l’aéroport d’Orly. Son architecture est classée au patrimoine du XXème siècle.

C’est un aéroport très bien desservi puisqu’il a deux aérogares, des navettes et des bus pour acheminer les passagers à leur lieu d’embarquement.

Comment se repérer et prendre son avion?

L’Aéroport Charles-de-Gaulle se compose des Terminaux 1, 2, 3.
Le Terminal 2 regroupe les Terminaux 2A, 2B, 2C, 2D, 2E, 2F et 2G.

Chaque terminal possède sa propre zone de départ.

Pour ne pas rater son vol il est conseillé de venir au minimum 3h à l’avance, avant de pouvoir aller dans l’avion.

Une des idées reçues sur cet endroit est de penser que Roissy-CDG possède de nombreuses pistes de vol, or il n’en possède que 4. Cependant, ces 4 pistes accueillent 58 millions de passagers par an pour le second aéroport d’Europe. L’aéroport propose au total 328 destinations dans 119 pays.

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