Dans le cadre de la recherche effectuée pour préparer une exposition sur le thème « Le lycée Camille-Saint-Saëns, un espace patrimonial et mémoriel », quelques cartes postales retrouvées sur la toile, tout particulièrement sur le site du MUNAE qui présente de très importantes archives photographiques (433.000 clichés).
Jules Adeline, né le 28 avril 1845 à Rouen où il est mort le 24 août 1909, est un dessinateur, graveur et historien français, auteur d’environ 9 000 dessins, gravures et aquarelles, principalement sur la vieille ville de Rouen (Wikipédia). Il a illustré Le Rhin de Victor Hugo en 1890.
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L’entrée de l’établissement, rue Saint-Lô (1923)
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C.V. : éditeur rattaché aux « Imprimerie Réunies de Nancy » – CPA (cartes postales anciennes) de RouenL’amphithéâtre, au 1er étage du bâtiment A. La cour intérieure (déjà plantée d’arbres). À noter au RDC côté droit l’existence d’une salle aujourd’hui disparue (extension actuelle du préau avec des piliers métalliques plus récents que ceux du fond et foyer des lycéens) : il s’agissait du réfectoire. Au fond se trouve le bâtiment des ateliers (aujourd’hui le réfectoire au RDC, le CDI au 1er étage et la salle de gymnastique au 3e étage).Coupe longitudinale du bâtiment B, extraite des plans de l’architecte Charles Jules Touzet, 1885Le réfectoire n’existe plus. Sa suppression a permis le prolongement du préau avec la mise en place de 8 nouvelles colonnes de métal dans le prolongement des 7 colonnes d’origine.Le bâtiment des ateliers est le bâtiment C actuel où se trouvent aujourd’hui au RDC le réfectoire, au 1er étage le CDI et au 2e étage la salle de gymnastique.L’atelier d’ajustage (RDC – actuel réfectoire)L’atelier de forge se trouvait à la gauche du bâtiment C, à la place de la petite aile du bâtiment scientifique (le bâtiment D) édifié en 1965 (architecte Marcel Macron)L’atelier de menuiserie (1er étage – actuel CDI)Salle des Machines-Outils : dans le prolongement de l’atelier de menuiserie (1er étage – actuel CDI) et donc situé au dessus de l’atelier de forgeLe quartier du lycée après les bombardements alliés du 19 avril 1944 : toutes les vitres des bâtiments encore debout ont été souffléesEn haut à droite de la photo, la façade de l’École primaire supérieure et professionnelle de Rouen, au 22 rue Saint-Lô. Au 1er plan, entre le Palais de Justice et la rue des Carmes, il ne reste plus que des ruines.